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 Une pointe de mélancolie [terminé]

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Sano-Sensei

Sano-Sensei


Messages : 91
Date d'inscription : 14/03/2012

Une pointe de mélancolie [terminé] Empty
MessageSujet: Une pointe de mélancolie [terminé]   Une pointe de mélancolie [terminé] I_icon_minitimeMar 27 Mar - 18:55


interprété par Harada Sanosuke
. JUN SANOSUKE .
  • Surnom : Sano-kun (pour les intimes, gare à ceux qui l’appelle comme ça sans son autorisation)
  • Age et Date de Naissance : 21 ans et 11 mois. Né le 17 Avril.
  • Sexe: Masculin
  • Sexualité : Hétéro quoique…
  • Nationalité: Américaine
  • Langue(s): Anglais, Japonais, Français, Néerlandais, Espagnol
  • Matière Enseignée: Anglais
généreux - trop rêveur- intelligent
« Live your Dream»
Avatar fait par: Aspara © crédit avatar



L'histoire, c'est l'histoire...
Le réveil sonna avec un affreux bruit. Ce n’était pas le bip bip strident de d’habitude, ce n’était qu’un horrible gargouillis de bip annonçant la pauvre mort de l’objet. Jun sortit le bras de la couette l’attrapa et l’envoya valser à travers la pièce. Il y un couic puis le silence. Le jeune homme poussa un grognement et se tourna se pelotonnant contre sa jeune femme. Ils étaient mariés depuis que quelques mois. Celle se tourna et caressa le visage de Jun.
-Il faut te lever mon chéri, tu vas être en retard.
Il ouvrit les yeux et lui sourit. Puis il l’entoura de ses bras et lui fit un petit bisou sur le nez.
-Tu as raison, comme toujours…
Il soupira et se leva a contre-cœur. Un frisson le parcourut un fois en dehors de la couette chaude. Il trottina jusqu'à la salle de bain et prit rapidement sa douche.
Puis vint le dilemme de tout les matins. Choisir sa tenue. Devant son armoire, il fixait la montagne de vêtement face à lui. Puis, il attrapa finalement un jean Levis, une chemise Abercrombie & Fitch ( ma marque préférée ) et des Converses.
Après avoir avalé un petit déjeuner toujours plus vite, il passa dans la chambre de Tim, son bébé de 2 mois. Ce dernier dormait paisiblement. Lorsque son père embrassa son front, il ne réveilla même pas.
Attendri, Jun le contempla dans la lueur du soleil levant. Sa femme le rejoignit. Elle se blottit contre lui. Le jeune homme l’embrassa.
-Il est si beau…
-Il faut vraiment que tu y ailles, lui répondit elle souriant.
Le professeur soupira de plus belle. Puis, il prit son sac et s’en alla en courant pour attraper le tramway.

La journée se déroula sans accrochage. Jun était de très belle humeur.
Enfin, la sonnerie annonça la fin des cours. Il avait hâte de retrouver sa petite famille. Il ramassa ses cours. Cependant, un élève était restée. Il la regarda. Amy Satori. Une jeune fille très jolie, mi-japonaise, mi américaine. Elle était pleine de talent. Jun l’aimait beaucoup. En effet, elle était très gentille et très intelligente. Ses remarques en cours avaient toujours été pertinentes. Elle s’approcha du bureau. Elle sourit au professeur pourtant elle avait l’air triste et inquiète.
-Je peux vous parler monsieur, s’il vous plait ?
Jun lui sourit. Il avait hâte de rentrer, mais son mot d’ordre était d’aider ses élèves. De plus, l’expression de la jeune fille montrait qu’elle avait sûrement besoin de cette conversation.
-Bien sûr, je t’écoute.
Il s’adossa contre le bureau, face à elle. Rapidement, elle alla fermer la porte. Jun en fut un peu surpris. Et un peu gêné aussi. Etait-ce si grave que ça ?
Amy ne le regarda pas.
-Sano-Sensei… Je crois que…
Elle leva brusquement les yeux le fixant de son regard noir. Ses beaux yeux étaient emplis de larmes. Le jeune professeur se retint de la prendre dans ses bras pour la consoler. Il se contenta de lui frotter l’épaule, encore plus embarrassé. Mais Amy, elle, se jeta dans ses bras, l’enserrant dans les siens. Jun sursauta. Puis, hésitant, il entoura la jeune fille de ses bras. Elle avait l’air si fragile. Il la regarda. Le jeune fille leva la tête vers lui et fixa de nouveau ses yeux. Elle était si proche. Jun voulut se dégager, mal à l’aise. Il détourna le regard. Cependant, Amy lui caressa le visage. Ca allait trop loin. Jun essaya de se dégager mais trop tard. La jeune fille l’embrassa à pleine bouche. Surpris, il ne réagit pas tout de suite. Puis, il lui prit les épaules et la repoussa, haletant. Puis, il cria presque, rouge de honte.
-Amy, mais qu’est ce qui te prend ?
Des larmes jaillirent des yeux de l’adolescente. Ses lèvres tremblaient.
-Sano-Sensei… je vous aime. Depuis toujours, à la folie. Je vous aime.
Le professeur ne répondit rien, choqué. Un silence pesant s’installa entre eux.
-Je…je suis désolé, répondit il finalement. Mais tu sais bien que c’est impossible…

Son interlocutrice parut confuse.
-Mais… pourquoi ? Je pensais que… Vous le saviez… J’avais l’impression que… C’était réciproque…
Jun le regarda de plus en plus choqué. Comment avait-elle pu penser ça.
-Non, tu sais je suis marié… Je t’aime beaucoup comme élève.

Un nouveau silence se fit. Soudain, Amy commença à rire. Jun l’interrogea du regard. Elle ne le regarda pas et commença à murmurer, comme si elle se parlait à elle même.
-Alors, c’était vrai. J’avais tout faux. On m’avait pourtant prévenue. Mais je pensais que toutes ces rumeurs étaient fausses. Mais j’avais tort, vous êtes vraiment un salaud, comme on me l’avait dit.
Jun la dévisagea et se précipita vers elle, en colère.
-De quoi tu parles Amy ?
Elle releva la tête, le regard assassin. Puis elle explosa.
-Cela vous amuse hein ? De briser le cœur des filles. Vous n’êtes qu’un salaud. Encore un fois, vous avez attrapé un pauvre cruche comme moi et vous allez le marquer sur votre tableau de chasse ? C’est trop drôle !
C’est trop simple pour vous, le type intelligent, beau, drôle, simpa, et ayant du style, le rêve pour nous, les filles. Tout sourire, vous nous faites espérer pour bien nous casser par la suite ? Quel passe-temps de rêve ! On m’avait prévenu que vous étiez comme ça, j’ai pas voulu les écouter. Je pensais que c’était impossible, vous étiez si gentil, si attentionné avec moi. Mais ça aussi c’était votre stratégie.

Jun la giffla, la faisant taire. En rage, il se tint devant elle ne pouvant prononcer un mot. Il ne comprenait plus rien à ce qui se passait. Pourquoi toutes ces accusations ? Il n’avait rien fait. Juste été gentil, à l’écoute des élèves. Il avait voulu être un bon professeur, alors pourquoi ?
Des larmes coulèrent de plus belle sur les joues d’Amy. Puis elle s’enfuit en courant. Jun soupira un grand coup. Cependant, il était toujours furieux. Il regarda à travers la fenêtre. La nuit était tombée. Il était resté si longtemps que ça ?
Rapidement, il prit ses affaires et rentra chez lui. Arrivé devant sa maison, une voiture inconnue était garée devant son portail. Sa femme avait-elle invité quelqu’un pour le dîner. Si c’était le cas, il y allait y avoir un dispute quant à son retard. Quelle journée merdique. Enfin, Amy avait gâché sa journée. Il essaya de faire sortir de son esprit cet incident. Cependant, il se sentait coupable de s’être laissé embrasser de la sorte. Il poussa le portail. Aucune lumière n’était allumée. Jun eut un mauvais pressentiment. Il courut jusqu’à la porte. Un homme en noir le bouscula violemment. Il se retourna puis s’enfuit en courant. Le moteur de la voiture inconnue vrombit et elle disparut dans la nuit. Jun se précipita à l’intérieur, pris de panique. Il appela sa femme. Aucune réponse. Il monta quatre à quatre les marches, jetant à peine un œil au bazar qui régnait. Du sang marquait la moquette. Il ouvrit la porte de leur chambre et alluma la lumière.
Son bébé gisait, baignant dans un flaque de sang. Jun se retint de vomir et s’agenouilla à côté de lui, en pleurs. Le petit corps était froid. Le jeune homme se mordit la lèvre. Puis, il tourna son regard vers le lit. Là, un masse gisait, recroquevillée sur elle-même. Jun s’approcha et posa sa main sur l’épaule tremblante.
-Mizuki ?
Un gémissement lui répondit. Il tourna la jeune femme vers lui. Son visage était tuméfié, son corps couvert de bleu et de sang. Elle était nue. Du sang s’écoulait entre ses jambes. C’était de la barbarie pure. Jun hurla sa rage exprimant l’horreur qu’il vivait. Puis prit sa jeune femme dans ses bras, sanglotant. Mais celle-ci se dégagea brusquement, les yeux fous de terreur et de colère.
-T’étais où ? T’ETAIS OU ??? Lui hurla-t-elle au visage.

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Quelques mois plus tard.

Jun gara sa voiture sur le parking de l’hôpital psychiatrique. Il espérait que cette fois-ci se passerai mieux. Cette journée avait été encore une fois un calvaire. Accusé d’attouchement sur son élève, il avait dû s’expliquer chez le proviseur. Centre de toutes les conversations, les élèves ne le voyait plus que comme un pédophile. Pas top comme image de professeur. Si seulement Amy avait démenti. Mais non, cette garce l’avait au contraire enfoncé. Une photo avait malheureusement été prise lors de leur baiser et bien sûr, cela avait fait le tour du lycée.
Tout était contre lui. Si seulement il n’était pas resté ce jour là. Tout aurait été différent.
Tout était la faute d’Amy. Il lui en voulait terriblement.
Depuis l’accident, Mizuki n’était plus qu’un fantôme. Elle ne parlait plus, ne mangeait plus. Ses nuits n’étaient que cauchemars. Elle hurlait durant des heures entières et quand Jun arrivait à la réveiller, elle ne lui disait rien et lui tournait le dos.
Il pénétra dans le hall blanc ruminant de sombres pensées et s’approcha de l’accueil quand soudain, un médecin l’intercepta. C’était le médecin attitré de Mizuki. Il paraissait inquiet. Un nœud se forma dans son ventre. Que s’était il encore passé ? Le médecin l’emmena dans son bureau et le fit s’asseoir. Puis il se plaça en face de lui, les mains jointes sur ses genoux.
-Monsieur Sanosuke, je dois vous dire quelque chose. Je vous demande d’être fort. Cela ne va pas être facile pour vous.
Jun ne répondit rien, trop stressé pour prononcer un mot. Il ne voulait pas le savoir. Pas ça.
-Votre femme… s’est suicidée ce matin. Je suis désolé
Le jeune homme sentit le monde s’écrouler sous ses pieds. Pourquoi… Sa tête était vide.
Après un silence, le médecin le remmena à l’accueil. Puis il le laissa après l’avoir saluer et présenter ses condoléances. Il régla la facture et rentra chez lui.
Une fois chez lui, il s’assit sur son lit, ne sachant plus que faire. Il regarda autour de lui. C’était un véritable capharnaüm. Depuis le départ de sa femme, il était négligeant. Dans sa maison, dans sa façon de vivre, de s’habiller, d’être. Plus rien ne comptait. Plus rien ne le retenait ici. Non, plus rien. Brusquement, il se leva et sortit sa valise et y fourra tout ce qu’il put y mettre. Il ne reviendrait pas ici. Les parents de Mizuki s’occuperaient du corps. Ici, il étouffait, il lui fallait partir. Ou plutôt fuir ses malheurs. Jun était lâche de faire ça et il le savait. Qu’importe ce qu’allait pouvoir penser ou dire les personnes, il s’en fichait. Il allait couper toutes attaches avec cette histoire et ce passé. Le rayer de son esprit.
Chargé de ses deux sacs à dos et de sa valise, il s’envola pour les Etats-Unis, sans regrets. Ou si un seul. Il n’avait pas dit à Mizuki qu’il l’aimait le matin de son accident. Il n’avait pas dit ces mots que tout le monde dit même un peu trop. Et il ne les dirait plus jamais. Plus jamais, il ne tomberait amoureux.
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Dans la tête ?
Sano-Sensei est un prof un peu tête en l’air. Mais il est très sympa. Seulement on a souvent l’impression qu’il est dans son monde et que personne ne peut l’en sortir. Il est cependant très sérieux dans ses cours et ne les prend pas à la légère. Il adore parler anglais quelque soit le moment et ce n’est pas rare qu’il passe d’une langue à l’autre.
Avant, c’était un grand séducteur et il aimait plaire aux filles de sa classe. Il était également enjoué et avait un humour sans égal. Il faut avouer qu’il n’est pas mal du tout //ZBAAFF//
Mais après son incident, il s’est juré que cela ne se reproduirait plus et s’est peu à peu refermé sur lui. Près à tout pour faire comprendre ses élèves, il reste tout de même méfiant dès qu’une fille s’intéresse de trop près à lui. Il met une distance assez notable dans ces cas là sans pour autant l’ignorer.
Il est en effet, très serviable et adore aider les autres.
Toutefois, comme je l’ai dit auparavant, il est dans son monde et peu de choses le touche vraiment. Son cœur est renfermé dans une muraille qu’il ne laissera passer par personne.

Ce qu’il aime :
Ce qu’il n’aime pas :



Le reflet ne trompe pas... Quoique…
Jun est un jeune homme doté d’un charme bien à lui. Il a les cheveux mi-long entre le brun-bordeaux et rouge vif. Selon la lumière, il peut y avoir quelques reflets roux ou dorés. Il a des yeux d’une couleur dorée et assez peu commune mais ils sont très expressifs. Ils sont très profonds et reflètent souvent son humeur. S’ils sont foncés, presque noirs, un seul conseil : déguerpissez en vitesse.
Le jeune professeur a un style vestimentaire qui plait beaucoup aux filles. En effet, ne prêtant pas vraiment d’attention à sa tenue, il est souvent en chemises (toujours très classe tout de même) jean et Converses un peu éliminées. Il porte souvent des marques telles que Ralph Lauren, Calvin Klein, et autres vêtements parfois chers. Malheureusement il n’est même pas au courant de ce qu’il porte. Quel désespoir ! En fait, on pourrait croire qu’il y fait attention mais cela lui est bien égal depuis son « incident » . On suppose qu’il s’habille bien car il a l’habitude de mettre les mêmes vêtements depuis des années… Si ce n’est pas malheureux quand même ! Pourtant il a tellement la classe (soupir) *va se pendre*
Bref, passons. Question autres particularités, il n’a pas de signes distinctifs si ce n’est un énorme tatouage qui fait le tour de son épaule gauche. Il ne le montre jamais. Celui-ci est en réalité barré par une énorme cicatrice qui fait environ le quart de son dos.
Sano-kun est un jeune homme qui exprime peu ses sentiments. Il rit parfois mais assez peu seulement quand il écoute vraiment une conversation (la plupart du temps, il ne la fait pas mais fait juste semblant. Il ne veut pas y participer en fait… Tout lui passe à 3000 mètres au-dessus…)
Perdu dans ses idées, il lui arrive de sourire (rarement) dans le vide. Sans avoir l’air déprimé, il est juste… comme ailleurs, et est quasiment toujours doté d’une expression un peu mélancolique.

Particularité : Il a tendance à mettre son livre derrière sa tête pour parler, quand il est décontracté.





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