Allen Williams [Terminée]

L'histoire, c'est l'histoire...

Je suis né un beau matin de fin automne, le 13 décembre plus précisément. Cette fabuleuse naissance a eu lieu dans un magnifique pays que l'on nomme Angleterre, dans une ville appelée Bristol. Ma mère, cette femme à la santé fragile, mourut pour me donner vie et mon père, lui, ma mère ne l'avais pas vu depuis neuf mois. Il avait surement prit peur d'avoir un enfant ou peut-être cette histoire n'était qu'une aventure d'une nuit. Cette journée-là, mon oncle attristé de cette nouvelle mais étant assez fort pour surmonter cette épreuve me prit sur son aile. Cependant, un an de pur joie et serein plus tard, nous allions tout les deux dans un autre pays, le Japon. Le paysage était si différent de ce que j'avais connut à une année de vie. Étant jeune, je m'habitua à se mode de vie très rapidement. J'appris trois ans le Japonnais, ayant la capacité de m'exprimer correctement. Mon oncle était d'une gentillesses pure et je l'admirais beaucoup dans ces moments d'amusements. Il me divertissait en racontant de belles histoires à la fin heureuse et cela me fit rêver longtemps. Je sentais que j'allais vivre un vie heureuse et prospère.

Cependant, la mort n'était pas d'accord avec moi. À croire qu'elle aimait détruire ce à quoi je m'attachais. Celle-ci m'enleva ce seul membre de la famille restant en prétendant un accident: Une voiture était arrivé à contre sens sur une rue à sens unique et avait brutalement percuté mon oncle. Bizarrement, je ne pleurais pas, bien que j'avais vu cette scène et que le sang avait giclé sur mon visage. Une dame aussi présente lors de cet incident me prit et m'amena dans un orphelinat, enfin, si cela en était un. Cela ressemblais plutôt à une prison pour enfant; un endroit loin de la ville, désert où les clôtures étaient très hautes. Le bâtiment était délabrer et paraissait pouvoir s'écrouler à tout moment. J'étais inquiet de cet endroit mais la dame me força à entrer. Un grand homme robuste m'accueillit en souriant jusqu'à ce que cette femme parte où, il me montra son vrai visage, me prenant par mes cheveux et m’entraînant dans une chambre à six. Depuis la mort de mon oncle, je n'arrivais pas à prononcer un mot ou un sons, alors j'avais un peu paniquer mais seulement mes geste le démontraient. Les six enfants avaient l'air dépités et s'approchaient anxieusement de moi. Je resta immobile les regardant de façon insécure. Ils me parlèrent, plutôt chuchotèrent à tour de rôle des questions comme mon nom, mon âge ou ma vie, mais voyant que je ne répondais pas ceux-ci me racontèrent comment la vie était ici. Une seule penser me passa à l'esprit: Je devais vite m'enfuir de cet endroit.

Trois passèrent dans cet endroit, ici, nous mangions peu et s'il nous trouvait en train de faire quelque chose comme parler, il nous enfermait durant trois jours, sans boire ni manger. Certains turbulents n'étaient jamais revenus. Tous étaient effrayés y comprit moi. Je n'avais toujours pas parlé mais j'avais trouver des feuilles et un crayon dans un tiroir et je les prit furtivement en les cachant sous mon matelas lorsque personne ne regardait. Ici, la loi de la trahison était de vigueur. Tous attendaient une quelconque façon de trahir, pour non seulement avoir une récompense de la part du patron mais aussi d'un divertissement pour plusieurs. Les gens n'avait que leur imagination pour garder la tête froide. Certains chuchotaient d'autres non, moi je me racontait des histoires dans ma tête. Des histoires où plus le temps avançait plus ces récits se finissaient sadiquement, décrivant de plus en plus intérieurement ces scènes de meurtres où le héros ne s'en sort jamais. Mon premier sons fut un rire des plus sadiques mais peu bruyant. Tous s'étonnèrent d'entendre quelques choses de moi, mais se qu'il ne savait pas c'est que mon comportement allait radicalement changer.

Une dame arriva, deux ans plus tard, elle recherchait un enfant. Un de mes colocataires de chambre eu la chance de pouvoir s'échapper de cette asile et malheureusement, il allait manquer le changement prévu dans quelques années ou quelques mois. Mes feuilles avaient servit à faire le plan de la maison et des tours de gardes des patrons. Il y en avait trois, des triplets nés surement dans un foyer où leur parents les battaient solidement pour qu'ils fassent cela à de pauvres petits enfants.

Cela ne prit que deux mois à tout préparer pour nos sortit. Les colocataires de ma chambres, que j'avais soigneusement manipuler pour ne pas qu'ils disent rien et même qu'ils m'aide à s'enfuirent de cet endroit, m'avait aider. À minuit, le coup allait être lancer mais il n'était que 22:00. je leur chuchotait les derniers arrangements, leurs expliquant qu'il y aura sans doute une personne qui pourrai être capturer et tuer, mais ils n'abandonnèrent pas. Des pas surgissaient et nous arrêtions de parler, je cachait mes plans et la porte s'ouvrit, nous faisions semblant de prier:

- Ha! Ha! Ha! Prier autant que vous voulez, personne ne vous trouvera ici. * Il referma la porte et s'en alla*

J'allais rire mais je me suis retins. La haine m'avait accaparé tandis que la peur avait disparu depuis deux ans déjà. C'est cette peur qui m'avais empêché de parler et elle était partit, se remplaçant par cette haine accaparante que l'on m'avait obligé à accepter durant ces années où normalement, l'innocence était accru et la bonté faisait place.


00:00, nous regardions discrètement si personne n'était là et nous nous dirigions vers la porte principal qui était effectivement fermer à clef. Cependant il y avait une fenêtre, je prit donc une chaise et la lança sur celle-ci qui éclata. Nos pieds charnus à forces de marcher nus pieds en permanence nous aidaient à ne pas nous couper sur ces éclats de verres. Les voix roques des gardes se fit entendre et nous nous dépêchions de sortir. J'étais, évidemment, le dernier et je me suis fait prendre. Heureusement, j'avais une fourchette que j'avais volé ce matin que je planta dans la main du persécuteur qui me lâcha précipitement. Je courrais, courrais, durant une trentaine de minutes sur la routes. Ils étaient partit à notre recherche. En courant, je m'étais déchirer le mollet, je ne pus donc courir mais je voyais la lumière qui venait, celle d'une lampe de poche. Je rampa au buisson et me cacha à l'intérieur. Le sang coulait et ma vue s'embrouillait, la lumière disparu et je m'évanouis.

Lorsque je me réveilla, je croyais que j'étais mort mais la douleur de ma jambe me rattrapa : j'étais dans un lit blanc où les murs et le plancher était blanc. Je me leva faiblement et réalisa que j'étais à l'hôpital, brancher sur une machine. Quelqu'un étais là, me rendant visite. C'était une femme, celle qui avait adopté, deux ans auparavant, un de mes colocataires de chambre. La police était aussi dans cette salle, surement que celui-ci avait parlé de cette vie misérable dans lequel il était autrefois et que cette dame, se sentant concernée par la situation de l'ancienne vie de son fils, avait appeler la police le jour de mon invasion. Si elle n'était pas venu, je savais qu'aujourd'hui, je ne serais pas de ce monde et je rejoindrais mon oncle. J'expliqua aux enquêteurs tout cette condition de martyr que j'avais vécu et que les autres avaient éprouvés. J'étais de plus en plus serein mais je me demandais où allais-je habiter désormais. La réponse se fut juste après ce questionnement car cette dame, qui adorait mes yeux de couleurs distincts et décida de m'adopter. J'eus un nouveau toit, mais pas une nouvelle vie. Mon corps charnelle était présent mais pas mon esprit qui était toujours dans cette prison infernale. La haine était toujours après moi et je ne pus jamais m'en débarrasser. Cette famille était chaleureuse certes, mais mes penser étaient trop embrouillés pour que je puisse redevenir comme j'étais. J'appris ou plutôt réapprit à lire et j'allais à l'école où, toutes choses que l'on m'apprenais devenait une sorte de rêve fantastique. J'écrivais depuis, tout mes idées sur papier et cela tournait plutôt sur la mort ou une malédiction qu'autre chose. Je ne put m'attacher à quelqu'un, sachant très bien que ce quelqu'un allait périr si je m'approchais trop de celle-ci. J'avais appris à apprécier cette chaleur macabre et à l'utiliser pour mon bien. C'est ainsi que je devint complètement....fou.

Dans la tête ?

Dans ma tête, c'est un grand trou noir. Je pourrais plutôt la qualifié d'Aysse. Je ne sais pas se qui se passe réellement dans ma tête la majorité du temps et même si je décris mes idée sur papier, celle-ci est presque incomprise. Je crois avoir deux moi, un étant le côté joyeux et serein que mon oncle ma fait sentir durant quelques années. Tandis que l'autre est anti-social, psychopathe qui aime la trahison et la mort. Les deux se combinant parfaitement donne une personne difficile à suivre dont les plus intelligent de ce monde, n'ose même pas lui parler. Je n'ai pas vraiment de ce que l'on appelle de la ''pitié'' pour quelqu'un. Je trouve que les êtres humains de toutes nature sont des créatures infâmes qui méritent de disparaître de cette terre. Malheureusement, sachant bien que je ne pourrait pas éradiquer tout ce monde, je mets mes idées sur papier, me libérant ainsi de toutes penser sadiques. * Je note, Je note* Il est très rare de ne pas me voir avec un carnet, cahier, cartable, bouquin entre les mains. Je crois que dans ces notes, j'essaie tant bien que mal de me trouver mais en me perdant encore plus. J'essaie aussi peut-être de laisser ma trace sur terre, sachant que cette terre continuera de tourner après mon ascension ici et sachant très bien que tous se fiche de moi et me dit comme soit crétin, soit fou. Ha! Ha! Je les apprécie beaucoup! ( Heureusement, la mort ne veut pas tuer ceux que je dit apprécier sauf si elle en a des preuves)

Le reflet ne trompe pas...

Miroir, miroir, dis moi à quoi je ressemble. Je suis un anglais et donc, étant Européen, j'ai la peau très blanche. Mes cheveux sont d'un blond doré et ceux-ci sont très long pour un homme. Mes yeux en sont chacun différents, un rougeoyant et un autre jaunâtre. Les gens sont très surprit par mes yeux et les trouve particulièrement, soit bizarre, soit magnifique. J'ai des lèvres fines souvent, il y a un sourire colle sur mon visage. Je porte, à l'oreille gauche, une boucle d'oreille rouge très voyante. Mes habits changent souvent de style. Cependant, j'aime bien le mode aristocrate qui éloigne la majorité de gens pour cette apparence très douteuse. Je ne suis pas petit ni très grand. Je suis, en terme de grandeur (et aussi par mes notes), au dessus de la moyenne. Je suis mince mais un peu musclé sans pourtant être monsieur je lève des altères de 100 kilos.
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Sous le capot de la voiture...

• Pseudo/Prénom: Ana
• Âge: 14 ans
• Sexe: I'm a girl
• Où as tu découvert le forum? .
  En fait, je m'étais déjà inscrit mais bon. Je suis revenu avec un nouveau perso
• Qu'en pensez-vous?
  Toujours aussi bien.
• Code?
  Superman-le-roi-des-Sushi

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